Fans de ciné !

Pride & Prejudice
Joe Wright, 2005

Bon, je n'ai jamais vu la fameuse télésérie avec Collin Firth, alors je n'avais pas de point de comparaison disponible en allant voir le film. C'est peut-être pour cette raison qu'il m'a, en définitive, bien plu. C'est du Jane Austen, c'est des malentendus et de chassés-croisés amoureux, ça se passe à l'époque des belles robes et des bals, et ça finit bien. C'est l'histoire de la famille Bennett, une famille de nobles qui sont plus ou moins ruinés, et qui ont cinq filles que leur mère voudrait bien marier à des hommes riches pour leur assurer un futur respectable (et redonner à leur nom ses lettres de noblesse). Elizabeth (Keira Knightley) rencontre Mr. Darcy (Matthew McFadyen), un riche noble qu'elle juge comme étant arrogant et détestable. Mais qu'est-ce que vous pensez qui va se passer entre ces deux-là ?

Comme je le disais, l'histoire est bonne, à l'eau de rose un peu bien sûr, ça reste Jane Austen... Le film est relativement long mais apparemment, des scènes ont été très raccourcies ou carrément escamotées selon ceux qui connaissent la version originale. Les comédiens sont bien choisis, les décors sont beaux... mais malgré tout, je crois que ce film m'aura moins marquée que "Sense and Sensibility" (avec une adaptation savoureuse du scénario par Emma Thompson, et un quatuor d'acteurs formidables qui crevaient l'écran). C'est peut-être dû au fait que le son (je ne sais pas si c'était la salle ou le film en tant que tel) était archi-mauvais, on entendait à peine la moitié des dialogues... Keira Knightley joue bien, mais il me semble qu'il manquait de profondeur à son personnage. Matthew McFadyen, lui, s'est à mon avis très bien acquitté de l'immense tâche que représentait sa succession à Collin Firth (quoique, comme je disais plus haut, je n'ai jamais vu la série, alors je ne peux pas vraiment en juger). Le personnage timide et effacé qui se cache derrière une façade d'arrogance, c'est exactement ce qu'il projette.

Un film à aller voir entre filles... ou du moins à ne pas forcer son copain à aller voir, parce que si je me fie au couple désagréable assis à quelques sièges de moi, il risque de s'endormir et de RONFLER pendant le film !

Harry Potter 4
Mike Newell, 2005

Eh oui, l'attente s'est enfin terminée hier pour les fans du sorcier Harry qui attendaient la sortie de Goblet of Fire avec une impatience frisant l'hystérie.  Enfin, à en juger par la longueur de la file d'attente, moi et ma bande de Pottermaniaques étions loins d'être les seuls crinqués à avoir tenu à voir le film le tout premier jour !  Croyez-moi, il y a une raison au succès d'Harry Potter et je la redécouvre à chaque nouveau livre et chaque adaptation cinématographique : c'est teeeeeeeellement bon !!!

Ce coup-ci, j'avais eu la bonne idée de ne pas relire le livre peu de temps avant de voir le film.  Je n'en gardais donc qu'un très vague souvenir, et c'est aussi bien comme ça car ce quatrième volet a été très résumé.  Il faut dire que transformer une grosse brique comme celle-là en un film de 2 heures et demi sans rien couper d'essentiel relève de l'exploit.  Mike Newell s'en est très bien acquitté.  Ici, pas de Dursleys au début du film : on commence directement à la coupe du monde de Quidditch.  Puis directement à l'école, où les deux écoles invitées arrivent à Hogwarts et où la sélection des champions pour le Triwizard Tournament (je ne connais pas les termes en français) commence immédiatement.  C'est à peine si on est témoins de 2 ou 3 cours durant cette année scolaire, l'énergie est davantage concentrée sur le tournoi, et donc sur l'action.  À mon avis, c'est une des forces du film.  En ne s'attardant pas sur les détails qu'au fond, on a déjà vus dans les volumes précédents, Mike Newell a créé un film très dynamique, qui semble durer une demi-heure même si en fait il dure plus de deux heures.  Je ne sais pas si c'est dû au style du réalisateur, mais il m'a semblé aussi que Newell trouvait le moyen, tout en synthétisant l'histoire, de donner une  dimension intéressante à certains personnages (chose sûre, il a exploité à fond les personnages des jumeaux Weasley !).  Que dire de Mad Eye Moody (Brian Gleeson) ou de Rita Skeeter (Miranda Richardson), des nouveaux venus dépeints à la perfection par leurs interprètes.  Une autre réussite indéniable du réalisateur : la représentation cinématographique de la Dark Mark, des Death Eaters (vraisemblablement inspirés du costume des membres du Ku-Klux-Klan) ou encore de Lord Voldemort, mi-Ralph Fiennes mi-serpent !  Je ne sais pas pourquoi, mais c'est extrêmement satisfaisant de voir porté à l'écran exactement L'IMAGE qu'on avait en tête en lisant le livre !

Mike Newell a, à l'instar de J.K. Rowling, adapté le style de réalisation à la plus grande maturité des personnages.  Un film pour enfants ? Plus vraiment.  Les émois d'adolescents commencent à apparaître, et on remarque plus d'une allusion tendancieuse durant le film !!!  Le style d'humour british à la Four Weddings and a Funeral est très présent aussi.  Très différent du magnifique "portrait" des deux premiers tomes par Chris Columbus, ou du style très sombre et relativement gothique d'Alfonso Cuaron, le quatrième volet d'Harry Potter est toutefois aussi réussi que les trois autres.  Les acteurs sont toujours aussi sublimes (ahhh, Alan Rickman, je l'ADORE), le jeu des jeunes sorciers est d'ailleurs de meilleur en meilleur ! Visuellement, encore une fois, tout est tout simplement parfait... Le seul petit hic, peut-être, à l'instar de tous les autres films jusqu'à maintenant, certains détails relativement important ont été escamotés, ce qui fait que pour des gens n'ayant pas lu le livre, certains trucs risquent d'être incompris.  Par exemple, il fallait sérieusement le savoir qu'Harry avait un faible pour Cho Chang et que celle-ci était amoureuse de Cedric, parce que ce n'était pas particulièrement évident dans le film.  Aussi, comparativement au livre, il m'a semblé que l'annonce du retour de Lord Voldemort est un peu passée dans le beurre... moins de panique qu'il aurait dû y avoir.  Mais bon.  Des petits détails qui n'enlèvent rien à la réussite du film.  Bon ça y est, maintenant j'ai hâte de lire le septième... ou de voir le cinquième ? Lequel viendra en premier ?  Eh oui... je suis totalement accroc et je l'assume très bien !!!

-Derailed

Vedettes: Clive Owen, Jennifer Aniston, Vincent Cassel

Un publiciste voit sa vie basculer le jour où il rencontre une jolie femme dans le train qu'il a l'habitude de prendre pour aller travailler.

-Pride & Prejudice 

Vedette: Keira Knightley, Matthew MacFadyen 
Au 18 siècle, Mme Bennet tente de marier ses cinq filles qui connaîtront des histoires tumultueuses à la suite de l'arrivée de nouveaux voisins dans leur village d'Angleterre.

-Kiss, Kiss, Bang, Bang

Vedette: Val Kilmer, Robert Downey Jr.

Harry Lockhart, Voleur en fuite, se voit malgré lui participer à un scénario Hollywoodien. Pour les biens de son rôle, il doit suivre un un réel détective privé avec qui il se retrouvera mêler à une histoire de meurtre. 

-Jarhead

Vedette: Jamie Foxx, Jame Gyllenhaal, Peter Sarsgaard   

Le film suit les expériences du jeune marine Anthony Swofford "Swoff" (Gyllenhaal) pendant l'opération Tempête du désert, lors de la première guerre du Golfe.

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Vedette: Zach Braff, Joan Cusack, Katie Finneran,

Ce nouveau film d'animation créé par ordinateur de Disney, raconte l'histoire hilarante d'un petit poulet qui croit que le ciel lui a littérallement tombé sur la tête. Suspense et rire garantie qui fera sans doute le bonheur des tous petits.

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-Le Dernier trappeur

Vedette: Norman Winther, May Loo, Alex Van

Documentaire qui nous apporte dans le quotidien de Norman Winther , l'un des derniers trappeurs des majestueuses Montagnes Rocheuses. On y dresse un portrait de la nature de ces pays d'en haut qui nous charme autant par ses côtés sauvages et hostiles que par sa grande beauté.

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